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Louange : un ange tombé sur terre... bien, bieeennnn bas. [finif !]

Louange Strauss
Messages : 59
Date d'inscription : 13/07/2017
Localisation : jamais souvent au même endroit, bouge souvent.
Ange déchu ou usurpateur





Louange Strauss
Ange déchu ou usurpateur
Ven 8 Sep - 1:48
▬ Présentation d'un ange descendu sur Terre
Votre douleur n'est qu'un désagrément passager là où la mienne est éternelle...
Louange : un ange tombé sur terre... bien, bieeennnn bas. [finif !] Louang11
PRÉNOM • Louange.
   NOM • Strauss officiellement, Desmoulins réellement.
   SEXE • Féminin.
   ÂGE • 16 ans.

   ESPECE • Nephilim (puis cyborg)
   CLASSE • Esclave rebelle (sans maître)
   PROFESSION • Aucune / espoir pour certains détracteur d’Avanced Genetic Corporation.
   
   DONS • -Angelique : ailes de lumière blanches dans le dos qui lui permettent de voler
-Pardon céleste : purge totale d’un esprit par la lumière au contact d’une cible, qui permet de purger toute émotion négative ou douloureuse, le PRP (et état aggravé de ce processus) en faisant partie. Ainsi, un psycho au contact de ce pouvoir redevient un simple humain, là où une gargouille reprend brutalement une mentalité humaine (elle garde son pouvoir si elle en prend son partie, et le perd si elle rejette cette part d'elle). Les autres dérivées genre "expériences ratés" peuvent aussi réagir à ce pouvoir étrangement mais leur caractère d'anomalie rend tout effet unique à chaque sujet (en accord avec le joueur). A noter que les émotions "négatives" sont généralement considérées comme négatives par la cible (l'émotion le ronge et il veut s'en débarrasser par exemple, Louange ne faisant que l'aider). Mais en cas de brutal pic émotionnel chez Louange, cette dernière peut "forcer" la purge entièrement ou partiellement. Cela dépend généralement de la volonté de la cible comparée à celle de Louange (cela étant fait en accord avec le joueur de la cible bien entendu).
-Ange cyber : renforts métalliques sur ses ailes qui lui permet de porter de lourdes charges en vol (jusqu'à 5 personnes environs)
-Miséricorde : complexe de fabrication de nanomachines spécialisées dans le soin (expulsée par son auréole de métal et fabriquée au niveau de son buste) qui peuvent soigner.
   LIMITATIONS • -La corruption rouillée : demande de l’entretient pour ne pas rouiller.
-Le soupir de l'ange : forcer ainsi la purge en cas de pic émotionnel (voir plus haut) selon ses propres idées de négativité et positivité peut épuiser Louange si la cible possède trop de volonté comparé à elle et que cette dernière insiste. Les répercussions peuvent aller du saignement de nez, au malaise, voir même à l'évanouissement demandant ensuite plus ou moins de temps pour se remettre.
-L'entropie divine : Louange ne peut cependant pas soigner les blessures mortelles grâce à ses nanos machines. Dès lors que le pronostique vital est engagé, elle ne peut que maintenir en vie, dans l'état sans améliorer le pronostique du blessé. Par ailleurs, elle ne peut pas tenir un tel blessé en vie indéfiniment : trop de concentration pourraient la faire saigner du nez, voir même tomber dans les vapes.

   FEAT• Mercy (Ange) de Overwatch
 
DESCRIPTION PHYSIQUE ET CARACTÈRE


Le moins qu'on puisse dire c'est que Louange possède une apparence... spéciale. Sa silhouette longiligne, et même de frêle apparence, est renforcée par deux grandes ailes de lumière. On peut aussi remarquer une sorte d’auréole sur sa tête. En se rapprochant un peu, on peut voir une lueur brillante dans ses yeux pouvant soutenir un regard puissant et chargé d'un bleu ciel reluisant. Là, on peut dissocier clairement que ses ailes ne sont pas faites de plumes, mais de lumière pure. A leur base on peut remarquer une armature de métal directement incrustée dans le juste métallique de l’ange. Son buste est fait de fer blanc oui, un fer marqué par des jointures aux niveaux où un humain posséderait une articulation. Là où la peau de son visage est clair est parfaitement organique, son coup est recouvert d’un caoutchouc noir et mâte. Le métal s’arrête au niveau de ses poignets, laissant ses mains arborer une apparence humaine à la peau claire et lumineuse. Ses jambes, elles, sont parfaitement organiques, bien qu’elle porte souvent des vêtements moulants et claires pour maintenir une certaine harmonie avec son haut métallique.
D’allure, Louange est gracieuse, douce et délicate. Sa peau est satinée et son contact est chaleureusement réconfortant. Elle apporte la lumière avec elle où qu’elle soit, tant de par ses ailes littéralement brillantes que de par son allure rayonnante. C’est LA nephilim lumineuse, l’étant depuis même avant sa naissance. Aussi, ce côté reluisant que peuvent avoir les anges est une seconde nature pour elle. Elle ne fait qu’un avec la lumière qui l’entoure comme avec celle qu’elle génère, et cette harmonie peut être out aussi belle que déroutante.





Bien fatalement, éduquez un être humain comme un ange tombé du ciel, et il deviendra parfaitement ce que vous souhaitez. En définitive, Louange et le fruit parfait de son éducation.
D'abord, elle est altruiste. Elle sait offrir le bonheur et s'en fait même une priorité. Car en définitive, on lui a apprit à ressentir le malheur des gens, et finalement une fois qu'elle en ressent elle ne peut se résoudre à laisser souffrir. Puisque si quelqu'un souffre, elle souffre avec lui. Ainsi, Louange a intégré comme un réflexe de prendre soin des gens comme chacun prend soin de lui même. Pour elle, il n'y a aucune différence entre relever un mendiant malade dans la rue pour le soigner ou bien se reposer après une grosse journée. Pire, là même où le malheur d'autrui la submerge, il peut lui arriver de s'oublier entièrement pour son prochain. Ainsi elle pourrait littéralement se tuer à aider les miséreux.
Ensuite, c'est un vrai tourbillon de positivité. Elle sait parler, remonter le moral. En fait, elle voit le bonheur en chaque être et elle sait le faire ressortir, avec ou sans pouvoirs. Après tout, elle même est un fragment de lumière pur dans un monde aussi sombre que des abysses inimaginables. Alors elle rayonne, et ses paroles rayonnent aussi clairement qu'elle. Elle redonne espoir, vie, foi, envie de vivre. Envie de se battre parfois aussi...
Pour autant, Louange a conscience d'être dans un monde qui la dévore, là même où son frère semble ne pas vouloir le comprendre... Elle voit le monde, elle en connait la douleur. Elle est même extrêmement bien placée pour comprendre toute l'horreur du monde : elle incarne l'espoir de bien trop de gens à son gout. Et puis, si elle le ressent, elle refuse pour autant de prendre cela pour une fatalité. Elle voit le malheur universel, mais elle ne s'y plie pas. Il est là, mais elle aussi, et elle refuse de fléchir ou de fermer les yeux. Elle affronte cela. Car il faut bien quelqu'un s'y colle.

Ainsi, Louange se pose elle même comme un parangon tellement tranché qu'elle en perd en humanité. Elle essaye de tenir, de résister à la douleur qui l'envahit dès qu'elle ouvre les yeux pour voir le monde. Mais forcément, un jour, elle lâchera, laissant ainsi apparaître une simple enfant, perdue et terrifiée... Une petite chose fragile et innocente qu'on n'a que trop impliqué dans un conflit qui la supplante en tout point...
Et Louange le sait elle même. Elle est très lucide vis à vis de sa propre condition. Seulement, elle ne parvient juste pas à arrêter. Elle ne parvient pas à se résoudre à cette idée. Déjà parce que trop de gens comptent sur elle, ensuite parce que voir un malheur sans le guérir la tuerait de chagrin. Elle cherche une échappatoire, une possibilité de vivre sans renoncer à ce qui la constitue, et sans devenir sourde, aveugle et muette. Parfois, elle se demande si c'est sa nature d'ange qui l'enferme à cette miséricorde constante. Mais elle ne peut pas lutter contre : aider lui est aussi nécessaire que respirer. Mais au fond elle a peur, du monde, de la maladie, de la mort, de la surprotection de son frère, de ses détracteurs, d'elle même, de cette étrange lumière qui l'habite, qu'un jour ses dons mystiques ne se retourne contre elle...





 
HISTOIRE


Une chaleur, une douceur, un foyer. Puis une lumière brutale, qui me perça les yeux jusqu’aux rétines. J’avais… mal… j’étais perdue… j’avais froid. Mais ils étaient là… là… Bien vite, la lumière qui m’entourait devint terne face à… la mienne. Bien vite, un câlin me réchauffa le corps comme le cœur. C’était mieux, bien mieux. Maman… Elle me portait dans ses bras, et moi je m’accrochais à son cou avec mes petites mains. J’étais là… et j’aurais pus y rester à jamais.
Quelques secondes, quelques minutes, je voulais que ça continue. Encore, encore. Lentement, mes pleures laissaient place à un sommeil me grignotant entièrement. Et lentement, le buste chaud de ma mère refroidissait. Je la sentait partir, lentement. Au revoir maman…
Un réveil. Le premier. J’étais déjà si différente. Du métal avait remplacé un peu de peau. Quelque chose me grattait dans le dos. Autre chose me gênait sur la tête. Je n’osais plus bouger. Je…
"Louange… Déjà réveillée ? Tu t’es remise, vraiment bien remise mon ange. N’ai crainte, reposes toi, grandis, forcis, et un jour tu feras de grandes choses. Pour ta mère, pour ton frère, pour tous les autres. Et n’oublie jamais : tu es une Desmoulins."

Une Desmoulins. Le temps passait. Et je grandissais. Je comprenais qui j’étais, où je vivais. Mes ailes dans le dos. Un peu de métal à leur base, beaucoup de lumière dans le reste. J’étais… un ange. On me le disais souvent. J’étais… rayonnante. On me le disais tout le temps. On me parlait d’une mère aimante, partie à jamais. On me parlait d’un frère fort, souffrant le martyr. Je ne comprenais pas tout, mais je comprenais qu’on voulait m’impliquer. Pourquoi ?
Le temps filait et je fus finalement en age de comprendre. D’abord, il y eut ce nom qu’on me donnait. Strauss. N’étais-je donc pas une Desmoulins ? Après mainte et mainte questions on m’affirmait que c’était le cas. Ensuite il y avait ces gens qu’on accueillait dans le domaine. Ils étaient… malades. Et pourtant ils portaient la marque des esclaves. Ils étaient différentes des esclaves que je voyais avant. L’un d’entre eux m’a même révélé qu’ils étaient faits pour la guerre. Ma famille voulait batailler contre qui ? Et enfin, il y eut cette discussion avec ma tante. Je voulais savoir qui était ce Jack dont elle me parlait si souvent. Et surtout où il était. Ce jour là, cela avait crié, pleuré et regretté. Mais à présent, je savais. Mon... frère, Jack, était tenu en otage par les Robespierre après une opération illégale. Une opération qui avait libéré ma mère enceinte. Une opération qui laissa une créature étrange naître. Moi. J’étais tous, pour ces fameux Desmoulins. L’espoir que tant de pertes n’étaient pas veines. L’espoir qu’un jour ma lumière face de grandes choses pour l’espèce humain entière. Mais moi au final, j’étais quoi ?
Et lui au final, était-il encore en vie ? Je venais de prendre mes 11 ans, et cela m’obsédait. Un frère. La nuit, je rêvais de lui, et ce sans même connaître son visage. Le jour je pensais à lui, et ce sans même savoir si je pourrais le voir un jour. Mon... frère.

En attendant, j'aidais au domaine. Là, on "soignait des gens" visiblement. Alors moi je les aidais, je leur parlais, on discutait ! Et lentement, je cherchais à leur faire reprendre le sourire. Je crois que ça marchait. Le "malade" qui aimait le plus ma compagnie d'ailleurs était un homme très gentil. Gabriel avait peur, il était perdu. Mais à présent il avait... une amie ? Et moi j'avais... un ami ? J'aimais à le penser. Avec le temps, quelques années, il devint aussi réconfortant pour moi que je ne l'étais pour lui. Moi je l'aidais à dépasser sa condition de malade, et lui il m'aidais à supporter le poids qui pesait sur mes épaules. Gabriel...
Ne le dites pas, vraiment pas, à personne hein, mais un jour un s'est même embrassés. Ce jour là, j'avais 14 ans, et Gabriel était tombé dans un étrange coma depuis quelques jours. J'étais triste, tellement triste que je me sentais plus seule que jamais. Mais ce jour là je découvrit le plus beau des cadeaux que je pouvais faire. Soigner les gens de la torture infligée par Advanced Genetic Corporation. Purger l'âme, la rendre plus pur qu'à l'origine. Offrir la sanité, donner la lumière. Gabriel était guérit. Et moi j'en étais heureuse. Il semblait tellement mieux, il était conscient et plus malade. Quelques mois lui suffirent à se remettre, et surtout à décider de comment me remercier : il allait libérer mon frère... Je... oui ! J'étais folle de joie. La seule ombre au tableau était peut être qu'on avait caché ça à ma famille : ils n'aurais pas comprit...
Eux d'ailleurs étaient aux anges : j'étais le remède au mal qui rongeait ce monde. Ils avaient raisons, en un sens... Mais la solitude qui me rongeait, qui la soignait ? Gabriel, et personne d'autre. L'homme qui allait enfin me faire rencontrer mon frère.

Ainsi je quittais secrètement le domaine de ma famille en Allemagne pour me rendre au Japon. Gabriel avait tout préparé. Il fallait dire qu'il était doué. Mais il s'était donné tant de mal... Nishiko n'était pas une ville facile : il me l'avait dit. Alors j'essayais d'encaisser, mais d'après lui j'étais encore bien loin de m'imaginer l'endroit avec exactitude.
A notre arrivé, Gabriel me cacha dans un hôtel et m'interdisant d'en sortir. Alors j'attendais, des jours, des semaines même. J'étais seul, mais cela allait être la dernière fois : je me consolais comme je pouvais. J'attendais, encore et encore, et ce au point de presque perdre patience. Mais finalement, alors même que je me dirigeais vers la porte, elle s'ouvrit devant moi, et un homme rentra.
"Jack..."


Un temps, deux : ensuite je ne faisais que gagner du temps. Un an, deux. Je voulais rester ici, aider les miséreux : on m'avait préparé pour ça toute ma vie après tout. Je portais l'espoir, je soignais le désespoir. Jack, mon... frère, n'était pas très partisan de cette idée. Mais il le fut finalement en découvrant qu'on était piégés ici. On ne savait pas comment sortir de la ville sans être repérés. Et si on l'était... je refusais d'y penser. Cela n'arriverait pas... jamais. Gabriel avait disparu, et avec lui toutes nos chances de sortir. Alors on devait survivre. Mais surtout ce qui avait disparu, au moment même où mon frère était réapparu, c'était un ami...

Gabriel... Jack... je...



 
PHRASE PERSONNALISÉE
Louange : un ange tombé sur terre... bien, bieeennnn bas. [finif !] Louang12
PRÉNOM • Klem, Nanae, comme ça vous dit.
   ÂGE • 21 ans.

   DOUBLE-COMPTE • pas encore mais ça ne saurait tarder %D.
   VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • fonda %D.
   COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • en le faisant de mes petites mains.
   AUTRE • patate.
   CODE DU RÈGLEMENT • Validé par moi même parce que voilà %D
 

   

° CODAGE PAR DITA | EPICODE °


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